Unless countries can manage to mobilize millions of land users to invest their scarce resources in protecting regenerating trees, the battle against land degradation cannot be won. These experiences from Niger show that hundreds of thousands of smallholder farm families have substantially increased tree cover on their farm land by investing in the management of on-farm trees. This has improved their production systems and their livelihoods. There is no reason to believe that similar success cannot be achieved in many more countries throughout African drylands and sub-humid area.

The adoption of FMNR increased by 50% over 20 years; about 90% of all farmers now encourage natural regeneration on the land that they manage. The key to success is having local institutions that are respected and effective. The experience in Bankass shows that reforestation rates of at least 250 trees per hectare can be achieved by farmer managed natural regeneration on Sahelian agricultural lands, recreating an agroforestry parkland at a fraction of the cost of establishing conventional plantations.

Being one of the oldest civilisations in the world, Ethiopia has an agricultural tradition that is over 2,500 years old. However the land has brought into cultivation at different times in history. Generally the Northern part of the country has experienced intensive agriculture for a long time, whereas the southwestern highlands, which show relatively less soil degradation were brought into agriculture in the last couple of centuries.

Repenser nos alimentations, c’est repenser nos sociétés. Car partager un repas et même faire ses courses sont des moyens de se relier aux autres. La façon de nous nourrir construit notre santé. Nos modes de production agricole façonnent nos paysages et définissent notre place dans la nature. Gérer des ressources pour produire, pour transformer et pour distribuer les aliments fonde nos économies. Nos registres du comestible, nos cuisines et nos manières de table racontent nos cultures.

Le présent document d’orientation analyse les tendances du commerce agroalimentaire à l’échelle mondiale et par groupes de pays, en accordant une attention particulière aux modèles commerciaux dans les pays en développement.

Ces dernières années, plusieurs grands facteurs sont intervenus qui font que le monde n’est plus en voie de mettre un terme à la faim et à la malnutrition sous toutes ses formes d’ici à 2030. Les difficultés n’ont fait que grandir en raison de la pandémie de covid-19 et des mesures qui ont été prises pour l’endiguer. Le présent rapport contient la première évaluation mondiale de l’insécurité alimentaire et de la malnutrition pour l’année 2020 et donne une idée de ce à quoi ressemblerait la faim en 2030, dans un scénario encore compliqué par les effets prolongés de la pandémie de covid-19.

La résilience climatique mondiale est une question de vie ou de mort. Dans les paysages forestiers, 1,3 milliard de petits exploitants agricoles, de communautés et de peuples autochtones doivent organiser leur résilience climatique pour survivre. Du fait qu’ils sont coresponsables de la gestion d’une grande partie des forêts restantes et de l’approvisionnement alimentaire d’une nombreuse population pauvre à travers le monde, leur résilience est également essentielle aux solutions climatiques mondiales.

La collecte de l'eau de pluie augmente la quantité d'eau disponible pour la boisson, l'usage domestique et l'agriculture. En Afrique de l'Est et de l'Ouest et en Asie du Sud-Est, l'eau peut être récupérée sur 40 à 70 % des terres agricoles, ce qui entraîne une forte augmentation de la production agricole en Ouganda, au Burundi, en République-Unie de Tanzanie et en Inde.  

La prise de contrôle de foncier agricole par des acteurs financiers suscite des controverses. Pour clarifier les enjeux associés à ce phénomène, le Centre d’études et de prospective a conduit une réflexion, associant plusieurs experts externes au ministère. Cette note présente les principaux enseignements de ce travail.

This study examines the effect of land rights on agricultural outcomes in Rwanda. We characterize the effects of land rights from two perspectives. The first one is land rights indicated by the right to sell and guarantee land and the second one is land titling. The agricultural outcomes include agricultural productivity, food security and nutritional diversity. From the results, land rights are found to have a positive relationship with all the outcome variables. The effect of land rights on agricultural productivity is larger if the household head is male.